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En créant les ballets de Monte Carlo en 1985, la princesse
Caroline de Hanovre a exaucé un voeu de sa mère la princess Grace et réalisé un rêve d'enfant, celui de voir une compagnie d'envergure internationale installée sur le rocher.
Jean-Christphe Maillot directeur-chorégraphe des ballets de Monte-Carlo, désigné par Caroline en 1993, a présenté sa dernière création "le songe" de Shakespeare au forum Grimaldi le 27 décembre 2005 en présence de la princesse et d'Albert II;
Caroline, accompagné par son frère le prince souverain Albert II, a soufflé les 20 bougies avec son ami Jean-Christphe Maillot devant un public visiblement ravi par cette dernière interprtation.
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Lundi 1 septembre 2003
Clotilde Courau et Emmanuel Philibert de Savoie ont fixé a date du mariage !La famille royale de Savoie a annoncé la semaine dernière la date du mariage de l'actrice de 34 ans et du prince âgé de 30 ans.
Clotilde Courau et le prince Emmanuel Philibert de Savoie uniront leurs destins le 25 septembre 2003 à la basilique Sainte Marie des Anges, à Rome. Le lieu n'a pas été choisi par hasard puisque l'arrière-grand-père du prince Emmanuel, Victor Emmanuel III, y a épousé Hélène de Monténégro, en 1896.
La famille de Savoie est autorisée seulement depuis l'année dernière à retourner en Italie. En 1946, la famille avait été bannie en raison de la promulgation des lois raciales de Mussolini par Victor Emmanuel III.
Tout sourit donc à l'ancienne compagne de Guillaume Depardieu et au prince habitué de la jet-set qui vivent toujours le parfait amour après avoir révélé tardivement leur histoire aux médias. Ils attendent même un petit bébé pour le premier trimestre de l'an prochain !
CELEBRATION DU MARIAGE
Jeudi 25 Septembre, aux alentours de 17h30, Clotilde Courau a réalisé son rêve de petite fille, épouser un vrai prince charmantDevant un parterre de quelque 1.200 invités, issus du gotha, de la politique ou du petit monde des people (Albert de Monaco, témoin du marié et qui les a présentés, Johnny Hallyday et Laeticia, Jean Rochefort ou encore Benoît Poelvoorde étaient présents), l'actrice française a dit "oui" à Emmanuel Philibert de Savoie.Les deux tourtereaux se sont unis en la basilique Sainte Marie des Anges, à Rome, à l'endroit même où l'arrière grand-père du prince, le roi Victor Emmanuel de Savoie, avait célébré ses noces avec Hélène de Monténégro en 1896. Ce mariage a célébré en fanfare le retour sur leur terre depuis mars dernier des héritiers mâles de la famille royale des Savoie (contraints à l'exil depuis 56 ans en raison de la collaboration du roi Victor Emmanuel III avec le régime fasciste de Benito Mussolini, ndlr).La mariée portait une robe de soie blanche créée par le couturier Valentino et une tiare de brillants et de grenats appartenant à la famille des Savoie. Très émue, Clotilde est entrée dans l'église au bras de son père, et n'a pu retenir ses larmes au moment du consentement.A l'issue de la cérémonie, les festivités se sont poursuivies au palais Ruspoli du comte et de la comtesse d'Amelio, en présence de 200 intimes. En raison de la grossesse de la comédienne, enceinte de six mois, le voyage de noces (quelques jours à Florence) ne sera que très bref.Et désormais, il faudra l'appeler Clotilde de Savoie, princesse de Venise et de Piémont...Photo de Agence France Presse French votre commentaire
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La petite Vittoria est née le 28 décembre 2003.
La jeune maman tout juste sortie de sa chambre, poussant sur un même fauteuil, comme s'ils étaient ses deux enfants, son mari, qui se remet d'un accident de moto, et son bébé, dans les couloirs de la maternité de Genève.
Emmanuel de Savoie a d'ailleurs promis de renoncer aux plaisirs de la moto afin de ne plus remettre sa vie en danger. D'autre part, l'actrice française a tenu la promesse qu'elle avait faite pendant sa grossesse. Elle a fait don du sang contenu dans le cordon ombilical de sa fille pour venir en aide à des enfants malades. Il contient en effet des cellules souches pouvant être utilisées pour des enfants atteints de leucémie.
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<script language=JavaScript>OAS_AD('Frame1');</script> <script language=JavaScript>OAS_AD('Top2');</script>Si elle doit un jour accéder au trône d'Espagne, ce sera sans doute sous la pression populaire.Leonor, fille de Letizia Ortiz et de l'héritier de la couronne, le prince des Asturies Felipe de Bourbon, et petite-fille de Juan Carlos Ier, est née lundi 31 octobre, à 1 h 46 du matin. La fillette aura le titre d'infante, princesse des Asturies, de Viana y Gerona, et le rang d'Altesse royale.
Leonor vient en seconde position, après son père, dans la ligne de succession. Mais, pour être née fille, celle que la presse du coeur espagnole, qui croyait savoir ces derniers jours que le bébé serait un garçon, avait un peu vite surnommée avant sa naissance "l'héritier de l'héritier" pose, justement, un problème tant politique que protocolaire. Leonor ne pourra en effet régner que si elle n'a pas de frère, ou si la Constitution espagnole est modifiée avant la naissance de celui-ci. Actuellement, la Loi fondamentale prévoit la primauté des hommes sur les femmes dans l'ordre de succession au trône. Cela signifie que si Leonor devait ultérieurement avoir un frère, c'est lui qui deviendrait "l'héritier de l'héritier".<script language=JavaScript>OAS_AD('Middle');</script> Le président du gouvernement, José Luis Rodriguez Zapatero, qui a formé un gouvernement paritaire et se veut un promoteur de la place des femmes dans tous les rouages de la société, s'est engagé à supprimer cette disposition sexiste lors de son discours d'investiture.
Tous les partis politiques sont d'accord, mais la procédure de révision du chapitre de la Constitution relatif au trône est très lourde et elle passe, en tout état de cause, par la dissolution des Cortes, suivie d'élections législatives et d'un référendum. Il y a donc peu de chances que le chef du gouvernement sacrifie son étroite majorité si loin de la date prévue pour les élections, en 2008.
En outre, pour éviter qu'un référendum sur l'ordre de succession se transforme en plébiscite pour ou contre la monarchie, M. Zapatero a prévu de regrouper cette réforme constitutionnelle avec d'autres propositions, moins consensuelles. Compte tenu du climat politique actuel en Espagne, il est peu probable que l'ensemble de ces mesures puisse faire l'objet d'un accord avec l'opposition de droite, accord nécessaire à l'adoption de la réforme.
Sans empiéter sur les prérogatives constitutionnelles du gouvernement, le prince Felipe, qui a précédemment exprimé le souhait d'avoir "un minimum de deux et un maximum de cinq" enfants, a clairement fait connaître son avis dès la naissance de sa fille. "La logique des temps indique que si la réforme constitutionnelle promise par le gouvernement" est menée à bien et s'accorde, comme c'est probable, avec "le sentiment majoritaire" des Espagnols, a-t-il dit, Leonor sera son héritière.
Dans ce cas, le septième petit-enfant de Juan Carlos pourrait devenir la première chef de l'Etat espagnol de plein droit depuis Isabelle II (1833-1868). L'eau du Jourdain qui servira pour son baptême a déjà été puisée par les frères franciscains de Jérusalem.
Cécile ChambraudArticle paru dans l'édition le monde du 01.11.05 votre commentaire
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