•                                                           Charlène, Stéphanie...
     
    Des jambes fuselées, une taille de guêpe, de larges épaules sculptées par des années de pratique assidue du sport – et de la natation, en particulier… On les appelle déjà les (belles) sœurs du Rocher ! Depuis l’irruption de la ravissante Charlene Wittstock dans la vie mondaine monégasque, plus un jour ne passe sans qu’experts et observateurs de tout poil soulignent ce p’tit quelque chose d’indéfinissable qui, dans son maintien et son tempérament tout autant que dans ses choix vestimentaires et sa silhouette, évoque la princesse Stéphanie.
    Même allure générale, même intensité dans le regard…Au fil des rendez-vous officiels qui sont le lot quasi quotidien des représentants des grandes familles du gotha, toutes deux surprennent agréablement par leur naturel sans ostentation ni tapage, leurs manières dépourvues d’affectation, leurs fous rires et la spontanéité qui caractérise leur relation aux autres.

    La jolie nageuse sud-africaine aurait-elle succombé elle aussi à l’effet Stéph’ ? Possible. Bye-bye les tailleurs trop stricts, les chapeaux too much et les tenues first lady… Dans le dressing de Charlene, des fourreaux fluides ou pailletés, souvent fendus assez haut sur la jambe, des robes très décolletées à fines bretelles, des tops ultrasexys, des lamés, des ensembles vintage, des bustiers, des pantalons amples retombant sur de fines sandales à hauts talons.

    Comme la cadette des Grimaldi, elle affectionne le blanc, les imprimés, les broderies de strass et les couleurs un peu vives. Comme elle, elle fait désormais régulièrement appel à une créatrice monégasque.

    Fan de Jiki depuis toujours, Stéphanie est devenue au fil des ans la principale ambassadrice de la griffe. Charlene, elle, serait plus sensible au talent d’Isabell Kristensen – l’un des piliers de la haute société du Rocher. Si le style est le reflet de l’âme, alors rien d’étonnant à ce que les deux jeunes femmes soient l’une et l’autre aussi peu portées sur les accessoires. Ni étoles, ni foulards, ni sacs, ni bijoux voyants… La beauté selon miss Wittstock ne se conçoit que simple et sans fards. D’où ce make-up minimum – une touche discrète de mascara et de gloss. D’où cette blondeur exquise, dont la luminosité un peu plus prononcée depuis quelques mois, vient joliment mettre en valeur son teint de porcelaine. Une princesse, une vraie...

    Coraline Lussac

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